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  • Isère : trois policiers visés par des menaces de mort

    Des photos de policiers accompagnées de la mention «mort ou vif» ont été affichées sur un mur à Échirolles.

    Au lendemain de l'attaque qui a coûté la vie à une agente administrative du commissariat de Rambouillet (Yvelines), une enquête a été ouverte en Isère après des menaces de mort visant des policiers.

    «Mort ou vif» : telle était la mention qui accompagnait les photos de trois policiers collées sur un mur à Échirolles, en banlieue de Grenoble. Selon l'AFP, c'est une infirmière effectuant sa tournée qui a repéré ces photos et a alerté la police samedi 24 avril vers 18h30.

    Trois ans de prison encourus

    Ce dimanche 25 avril, le procureur de Grenoble Eric Vaillant a précisé que les investigations avaient été confiées à la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de Grenoble.

    L'enquête est ouverte pour «menace de crime ou délit contre les personnes ou les biens à l'encontre de dépositaires de l'autorité publique». Cette infraction est punie de trois ans de prison.

    À voir aussi - François Durovray favorable à des «peines planchers» en cas d'attaque envers les forces de l'ordre

    Une situation similaire dans le 93

    Mi-avril, des photos personnelles de policiers avaient été retrouvées affichées dans un hall d'immeuble d'une cité d'Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Ces clichés avaient probablement été récupérés sur les réseaux sociaux.

    Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait apporté son «soutien total» aux policiers «dont les visages et les noms ont été affichés en guise d'intimidation». «Je n'accepterai jamais que l'on jette en pâture et que l'on menace ceux qui nous protègent», avait-il écrit sur Twitter.

     

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  • Tourcoing: Gérald Darmanin fait verser ses indemnités de maire non touchées à la SPA

    Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a annoncé ce samedi 12 décembre que le conseil municipal de Tourcoing, ville dont il était resté maire jusqu'à mi-septembre, avait entériné sa volonté de verser ses indemnités de maire non touchées, s'élevant à 20.000 euros, à la Société protection des Animaux (SPA).

     

    «Ce matin, en conseil municipal de @TourcoingVille, promesse tenue: les 20.000 euros qui représentent les indemnités de maire non touchées, seront bien versées à la @SPA_Officiel pour aider les animaux abandonnés dans cette période difficile. Boris s'en lèche les pattes !» a écrit le ministre sur son compte Twitter, vidéo de son chat adopté à la SPA de Tourcoing à l'appui.

     

    Selon un rapport figurant dans le compte-rendu de ce conseil municipal, disponible sur le site internet de la mairie, «le non versement de l'indemnité de maire à Gérald Darmanin du 23 mai au 6 septembre 2020 a généré une enveloppe de l'ordre de 20.000 euros». Le conseil devait se prononcer sur le versement d'une subvention exceptionnelle de 20.000 euros à la SPA de Tourcoing, qui doit servir à aider les particuliers qui veulent faire stériliser ou identifier leur chat.

    «Coup de com'»

    «Décidément il ne manque pas de culot #Darmanin d'accuser l'opposition de politique politicienne en défendant une délibération dont il a décidé de faire un coup de com' à son crédit personnel il y a déjà 6 mois. Nb: on vous a pas attendu pour défendre les animaux», a réagi, également sur Twitter, son opposante écologiste Katy Vuylsteker.

     

    Le ministre LREM était redevenu maire de Tourcoing le 23 mai, retrouvant un siège occupé entre mars 2014 - quand le jeune élu alors estampillé UMP avait ravi la ville au PS - et septembre 2017. Gérald Darmanin n'a démissionné de son poste de maire qu'en septembre 2020, devenant simple conseiller municipal.

    Selon la jurisprudence instaurée par Lionel Jospin en 1997, un ministre ne peut pas diriger un exécutif local. Il s'agit d'une règle - non-écrite - qui a souffert des exceptions (Le Drian, Sarkozy...) mais l'ex-premier ministre Edouard Philippe l'avait sanctuarisée en septembre 2019.

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  • Je voulais mettre cette bombe dans l’église» : révélations sur l’adolescente de Béziers qui projetait un attentat

    EXCLUSIF. Mise en examen le 8 avril, Leila B. est soupçonnée d’avoir fomenté des actions terroristes, notamment contre la communauté catholique. L’enquête raconte la dérive morbide d’une adolescente perdue et fascinée par l’ultra-violence sous toutes ses formes, du nazisme au djihadisme.

    source https://www.leparisien.fr/faits-divers/je-voulais-mettre-cette-bombe-dans-leglise-revelations-sur-ladolescente-de-beziers-qui-projetait-un-attentat-17-04-2021-TH7TMLMZB5DXXBQHSK7V7PTD54.php

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